Extrait
du
mém.
[mémoire]
de
robiquet
sur
le
Kermès
ann.
de
ch.
[annales
de
chimie]
81.
317.
l’
affaiblir
par
un
poids
égal
d’eau
ne
donne
point
d’hydrogène
sulfuré,
mais
le
liquide
filtré
ppte
[précipite]
abondt
[abondamment]
par
l’eau
en
larges
flocons
blancs
solubles
dans
l’eau.
c’est
la
véritable
poudre
d’algaroth.
Le
Kermès
se
décolore
prompt
[promptement]
par
une
légère
chaleur,
en
donnant
de
l’eau.
robiquet
est
conduit
par
la
pensée
que
le
Kermès
est
un
hydrosulfate
avec
excès
de
base.
Le
résidu
A
chauffé
fortement
donne
beaucoup
d’acide
sulfureux,
sans
eau.
Le
séjour
prolongé
du
Kermès
dans
l’
faible
le
convertit
en
une
poudre
noire
grenue
qu’on
ne
peut
méconnaître
pour
du
sulfure
métalliq.
[métallique]
c’est
proust
qui
l’a
observé.
10gr
de
Kermès
traités
en
vaisseaux
clos
par
l’
faible,
ont
donné,
après
plusieurs
jours
de
contact,
5,8
d’un
résidu
très
noir
qui,
chauffé
dans
une
cornue,
n’a
donné
ni
eau,
ni
acide
sulfureux,
mais
seulement
un
peu
de
soufre,
s’est
fondu
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